Actualité, Culture

Takana ZION entre colère, aveux et projets intenses

L’actualité dominante de la légende du reggae guinéen, Takana Zion se voit tâter et partager entre colère, mea culpa et projets intenses. ©AFROGUINÉE vous en dit plus !

« Human Supremacy », serait présentement le projet prioritaire de Takana qui souhaite enfin se dévoiler au soleil. En effet, son auteur court  pour le confier à un label sérieux. Puisqu’il s’agit bien d’une œuvre dite internationale. Selon les indiscrétions, son voyage sur la France résulte pas mal d’aubaine en termes de discussions et d’opportunités avec quelques labels du showbiz. L’on se rappelle, le reggae man le plus attitré de sa génération avait bien réussi dans les années antérieures, à se cataloguer dans le registre pro des géants du showbiz international. « Zion Prophet », « Rasta Govement »« Rappel à l’Ordre », « Good Life » et bien d’autres albums du reggae man furent une parfaite illustration des résultats probants pour une carrière normale et prometteuse. Takana veut à nouveau s’inscrire dans la même logique avec son disque « Human Supremacy » enregistré à Kingstone en Jamaïque sur les terres de Bob Marley. Aucune date n’est pour le moment ciblée même ses proches nous confirment une date de sortie pas aussi très loin.

Parallèlement à « Human Supremacy », Takana fait fleurir « Zion City », un véritable temple aux couleurs rastas. Dedans, on découvre des hôtels, des baies d’animaux, d’un merveilleux espace de spectacles. Mais aussi, un super studio d’enregistrement qui est entrain d’être monté. Histoire de créer un cadre fabuleux et espace idéal pour qu’il y est de la place pour tout le monde. Comme pour dire que de « Zion Prophet » à « Zion City », traduit une sorte de déclic sur de longues années de patience, de travail et exprime un mélange de philosophie d’artiste et de businessman.

L’actualité de Takana Zion, c’est aussi la fureur qu’on a découvert en lui, finalement amoindrie en mea culpa. Puisque la philosophie rasta exige le pardon et l’amour dans le cœur donnant vie aux locks. Dans son tout dernier single « Mamayo », produit en urgence, le Rasta de Soumbouya crie la meilleure vie et dénonce les esprits sataniques. Sur un riddim blues Takana demande qu’on le pardonne pour son obscénité constatée récemment sur la toile.

Afro Guinée Magazine

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