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Koné Ibrahima : « Le 400ème numéro du JAO ne doit pas passer sous silence »

Le journal des appels d’offres et offres d’emplois (JAO) a célébré ce lundi 31 décembre 2018, la sortie de son 400éme numéro. La cérémonie de commémoration qui a été marquée par le découpage d’un gâteau très somptueux a eu lieu au siège dudit journal à Sandervalia en présence des patrons des médias et associations de presse.

En rappel, c’est en 2011 que le premier numéro du JAO a vu jour dans les kiosques médiatiques guinéens.
Le PDG estime qu’il est inacceptable de passer cet événement sous silence et promet tout de même de servir loyalement ses partenaires le gouvernement.

« Sept (7) ans dans la vie d’une entreprise, c’est petit mais c’est grand. Pour nous, c’est de dire aux uns et aux autres qui nous font confiance, combler un vide dans le milieu de la presse guinéenne à l’époque et qui tient sa route, je vous dis merci à tous …vu la confiance que nos partenaires accordent au journal des appels d’offres, vu le rôle que le journal d’appels d’offres joue dans le milieu de passation des marchés, dans le milieu de la recherche de l’emploi en Guinée, il n’ y a pas de raison que le journal d’appels d’offres ne puisse pas faire son petit bonhomme de chemin », dit-il.

Invité à cet anniversaire le président de l’association guinéenne des éditeurs de la presse indépendante (AGEPI), Moussa Iboun conté, se dit être sous le charme en tenant compte de l’environnement dans lequel le JAO évolue : « S’ils arrivent à ce 400éme numéro, il faut dire qu’ils ont dû consentir d’énormes sacrifices pour arriver à cet objectif. Je crois que l’équipe dirigeante y compris les journalistes mérite respect et considération. J’ose croire qu’ils vont tenir le camp et qu’ils vont transcender les obstacles futurs pour arriver au 400éme numéro ».

De son côté Amadou Tham, du site guineenews.org et président de l’AGUIPEL : « Faire le 400éme numéro, c’est vraiment le signe que le travail est téméraire et qu’il se fait bien. Donc en cela, il faut saluer le promoteur qui, en dépit de l‘environnement économique défavorable tient à sortir régulièrement ce qui est véritablement une prouesse. Pour ma part, je les félicite et je les encourage à continuer à être persévérant parce ce que la presse écrite singulièrement traverse une période très difficile qui tend vers sa disparition. Donc être régulier dans un tel contexte c’est vraiment un exploit qu’il faut saluer et encourager ».

Mohamed Y

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