Le ministre guinéen actuel des Transports, Oyé Guilavogui réputé être, auteur de « fausses promesses » et de « marchand d’illusions » ne se lasse pas. Il serait soupçonné, même par la plus haute autorité de l’Etat dans une affaire d’appel du Bordereau Electronique de Suivi de Cargaison (BESC).
C’est un homme qui réussit des prouesses dans les affaires dont il semble doué. Il a des tentacules partout. On dit qu’il est génial en tout. Où bon sang, il aurait déniché la société SMMR, basée à l’île Maurice afin de la faire participer à un appel d’offre en Guinée. Mieux, pourquoi, il aurait ensuite introduit son propre jeune frère, un certain Mady Guilavogui dans cet appel d’offre du BESC ? C’est qu’il semble travailler pour l’Etat, mais en réalité, c’est plutôt pour sa poche.
Il faut reconnaitre qu’à cause de l’intérêt que l’appel d’offre du BESC, suscite avec plusieurs soumissionnaires, le ministre Oyé aurait envisagé dans l’ombre, de tirer le drap en sa faveur et sa famille. C’est en cela qu’il serait soupçonné par la haute autorité du pays et certains soumissionnaires étrangers de large expérience au Port Autonome de Conakry et dans des sociétés de transit ayant longuement opéré en Guinée.
A cet effet, plusieurs questions venant d’anonymes lui sont adressées. En voici quelques-unes :
Comment le Ministre Oyé inscrit-il des sociétés sans références dans le BESC ? Comment le ministre Oyé a-t-il déniché la société SMMR, qui est une coquille vide basée à l’île Maurice ? Comment le ministre Oyé justifie-t-il de la présence de son propre petit frère dans ce marché restreint et que celui-ci signe même le registre de retrait des prix ? Comment le ministre Oyé justifie-t-il du choix du consultant international qui doit être neutre et sans aucun risque de position et qu’il choisisse un ancien directeur de MAERK-Guinée qui était alors la société manutentionnaire de GETMA-Guinée sensé être ami avec le patron de GETMA International ?
Il semblerait que l’instruction aurait été donnée de suspendre ce marché en vue que tout soit tiré au clair.
Affaire à suivre !
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