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Société : Des hauts dignitaires honorés par l’UCERPAC à Conakry

Plusieurs dignitaires du pays viennent d’être honorés le samedi 21 janvier dernier à Conakry, par l’ong Union Citoyenne pour l’Education et la Réinsertion Pérenne par l’Action Communautaire en abrégé (UCERPAC).

C’est à travers la deuxième édition de son activité dénommée « Le LAIT A L’ECOLE », que l’UCERPAC a décerné des prix à certaines personnalités dont deux à titre posthume.

Il s’agit d’abord du Prix d’Excellence attribué au Président de la République, le Pr. Alpha Condé pour dit-on, l’élan de développement amorcé pour l’émergence de la Guinée.

Ensuite, d’une distinction Honorifique octroyée à Docteur Makalé Traoré, Présidente de la Coalition des femmes et filles de Guinée (COFFIG). Et cela pour son combat sans faille en faveur de l’émancipation de la femme guinéenne et la consolidation de la paix et l’unité nationale.

Cet évènement à la fois humanitaire, citoyen et éducatif, a été ainsi mis à profit pour immortaliser certains commis de l’Etat décédés récemment.

En effet, Rougui Barry ‘’RBB’’ et Soriba Sorel Camara respectivement, ministre Conseillère à la Présidence de la République et Gouverneur de la Ville de Conakry ont été honorés à titre posthume pour les nobles et loyaux services rendus à la nation.

La présidente de l’UCERPAC, Mama Tady Condé dans son speech, est d’abord revenue longuement sur la générosité et la bienfaisance de ces personnes distinguées avant d’expliquer la portée de l’évènement.

« Le LAIT A L’ECOLE consiste à primer les meilleurs élèves de la Commune de Matam. 26 élèves sont récompensés à cette seconde édition. Cet évènement est aussi une manière d’inciter les autres à redoubler d’effort », explique-t-elle.

En rappel, la première édition de ladite activité organisée en 2015 au Palais du Peuple de Conakry, réunissant plusieurs établissements a été aussi un grand succès.

 

Pour sa part, la Directrice Communale de l’Education, Mme Diallo Deen Aissatou dira que cet évènement s’inscrit dans le cadre de la redynamisation du système éducatif guinéen.

« L’Etat lui seul, ne peut rien. J’invite les autres structures à faire comme l’UCERPAC. Surtout les parents d’élèves qui doivent aussi s’impliquer davantage dans l’éducation des enfants », a conclu Mme Diallo.

 

Cette deuxième édition organisée en apothéose dans l’enceinte du lycée Coléah a été clôturée par une séance de remise des prix.

Syta Camara

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