Education: un Enseignant rappelle Aboubacar Soumah à l’ordre

Sous l’anonymat, un Enseignant rappelle Aboubacar Soumah à l’ordre et lui règle les comptes. Voici ses propos!

Aboubacar Soumah est un perturbateur en puissance qui avait cru à un moment d’être le dinosaure imbattable.

Oui feu Ahmed Sékou Touré a dit : On peut tromper une partie du peuple tout le temps, tout le peuple une partie du temps, mais jamais tout le peuple tout le temps. Le débrayage occasionné par cette dissidence du SLECG en novembre dernier est interprété de mille manières par certains journalistes en manque d’information. Cet individu effacé et sombre que l’on s’évertue à qualifier de héros,  n’est qu’un zéro en puissance, un ennemi avéré de l’école guinéenne qui ne cherche qu’à assouvir son dessein machiavélique.

Les manœuvres dilatoires auxquelles ses acolytes et lui se sont livrés prouvent à suffisance que leur désir est de porter atteinte à la sureté de l’Etat en incitant des pauvres enseignants à une révolte. Le syndicat obéit à des règles et des principes qui donnent toute la légitimité à son action de revendication. La centrale du SLECG n’a que trop retardé dans sa prise de décision contre ces renégats qui croient que nous vivons dans un pays où il n’ ya pas de loi. Les quatre individus cités par le secrétaire général de l’USTG à savoir : Aboubacar Soumah, Abdoulaye Portos Diallo, Ibrahima Baniré Diallo et Oumar Tounkara, sont l’incarnation vivante de l’insatisfaction et du manque de foi. Ce sont les oiseaux de même ramage qui volent ensemble dit-on souvent et cela se vérifie par cette association de personnes de cette catégorie. Rien qu’à les voir physiquement on lit sur leur visage le mépris, la haine et la duplicité dans leur visage.

Il faut reconnaitre que depuis l’arrivée du Pr. Alpha CONDE à la magistrature suprême du pays, la condition salariale des travailleurs guinéens en général et en particulier celle des enseignants a connu une amélioration sensible. Il faut être un ingrat pour ne pas reconnaitre cela. Le syndicat a toujours défendu la cause des travailleurs dans un mouvement concerté de grève. Ce n’est pas dans la pagaille de Soumah que les conditions de vie peuvent changer car le gouvernement a besoin d’interlocuteur responsable mais pas d’apatride.

Le plus vieux des syndicats guinéens la FSPE a décidé enfin de briser son mutisme pour livrer à ses syndiqués, la part de vérité sur le débrayage de l’aile dissidente du SLECG. C’est dans le style d’un véritable conférencier que le camarade Yansané, a tenu en haleine des dizaines d’enseignants venus l’écouter et s’informer. Il mettra en exergue tous les points qui ont servi à la bande à Soumah de conduire certains enseignants dans son sillage d’indiscipline syndicale. Ce que nombreux guinéens ne savent pas, c’est la représentativité des centrales syndicales dans le pays. Le constat a révélé que plus de 78% des travailleurs sont affiliés à la CNTG, 24% des travailleurs se retrouvent dans le SLECG.

Deux syndicats ont toujours défendu les intérêts des enseignants guinéens, la FSPE et le SLECG  qui évoluent dans un cadre de concertation appelé intersyndicale FSPE-SLECG. Pour rappel toutes les grèves déclenchées par l’intersyndicale ont abouti effectivement à des acquis pour les enseignants. Le protocole d’accord toujours signé offre aux grévistes plus de 80% de satisfaction par rapport à leurs revendications.

Le cadre de dialogue n’a pas été informé de cette indiscipline syndicale, aujourd’hui on parle même de SLECG 1 et 2 pour quelle raison ? Que l’on arrête donc les déclarations tendancieuses dans les médias privés, quand on se plait à faire croire que ce détraqué de Soumah est un défenseur des enseignants. L’Etat a un pouvoir coercitif qui peut écraser tout individu malveillant désirant le désordre social. Maintenant que tout semble clair au sujet de ces rebelles, aucune autorité administrative n’hésitera désormais de prendre contre eux des mesures draconiennes et les faire subir la rigueur de la loi.

Soumah est loin d’être un ami des enseignants, il est au contraire leur pire ennemi car il les conduit sur la route de la perdition ».

DDG